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    Hoazin.fr : le blog de Catherine Levesque

    9 juillet 2011  |  Catherine L.  

    Le Grand Cacatoès blanc de Sylvain Rousseau (2009) © StéphaneBellanger

    C’est d’abord l’affiche qui m’a attirée : une gazelle qui croque un tigre (bien qu’il n’y ait pas le moindre tigre en Afrique). Mais j’y suis surtout allée pour le grand cacatoès. Et il a de l’allure, ce grand cacatoès, dans l’expo Safari, proposée jusqu’au 4 septembre au Lieu unique de Nantes. Parmi la trentaine d’oeuvres (peintures, sculptures, photographies, films, vidéos et installations), il y en a de plus contestables (les inséparables en cage, je ne suis pas fan, même si la cage est superbe, tout comme son ombre sur le mur blanc).
    L’idée de cette expo inédite, conçue autour de la figure animale, repose sur le paradoxe suivant : l’animal devient de plus en plus présent au fur et à mesure que nos liens réels avec la nature s’estompent.
    Bien aimé, également, les deux fresques photographiques qui recouvrent la grande cimaise, au milieu de la cour du Lieu unique : les photos de Frank Gérard, prises sur le vif, illustrent l’omniprésence de l’animal dans notre vie quotidienne (peluches, jouets, motifs d’empaquetage…). Eric Tabuchi, lui, s’est exprimé à travers les représentations animales dans l’ornementation publicitaire.
    Bref, une expo sympathique, comme toujours dans cet endroit magique. Et puis c’est toujours sympa de faire un saut à la boutique et à la librairie Vent d’Ouest, puis de boire un verre dans un transat, près du canal. S’il ne pleut pas…

    3 juillet 2011  |  Catherine L.  

    Le Café de la Place, à Junhac, qui célèbrera le week-end prochain la Fête du porc de montagne. Gruik gruik !

    Elle nous a vues venir, Josette, dans son minuscule café. Quatre vacancières en goguette, prêtes à tout pour boire l’apéro sur la place de l’Eglise, à Cassaniouze. Contre toute attente, la note a été plus salée que le jambon de pays et on a pu vérifier que l’Auvergne n’est pas une terre de vignoble. On ne peut pas tout avoir. Des fromages succulents, c’est déjà pas mal.

    Le Cantal, c’est encore une de ces contrées où l’on peut boire un verre en ayant l’impression de s’inviter chez les gens. L’autochtone vous dévisage sur le pas de la porte, puis vous propose son apéritif de gentiane ou son Birlou. Là, vous regrettez immédiatement d’avoir choisi le verre de blanc.

    Il y a aussi les petits miracles. Vous crapahutez une heure trente pour atteindre le ravissant hameau de La Vinzelle, dans l’Aveyron (à la frontière de la Châtaigneraie cantalienne) et paf, l’Auberge du Peyral vous tend les bras avec son panorama incroyable. Ça tombe bien, il est midi et vous avez un p’tit creux. C’est l’occasion de goûter le gâteau aux noix, qui tient au corps. De câliner un chat bonsaï mou comme une chiffe, qui, selon l’aubergiste, ne grandira plus jamais. Comme le temps s’est arrêté ici, nous ne grandirons plus non plus.

     |  Catherine L.  

    Le supplément « Parcours divins en Val de Loire » que j’ai rédigé au printemps 2010 pour InterLoire, en collaboration avec Anne-Marie Jelonek, rédactrice en chef de TGV mag, a obtenu le Prix national de l’oenotourisme 2011 dans la catégorie « Opération de promotion de l’oenotourisme ». Vous pouvez feuilleter ou télécharger sur www.vinsdeloire.fr ce supplément de 24 pages, diffusé en avril 2010 à 200 000 exemplaires dans le TGV.

    Anne-Sophie Lerouge, d'InterLoire, et Anne-Marie Jelonek, lors de la remise du prix. Moi, j'étais en vacances !

    23 juin 2011  |  Catherine L.  

    Hier, à la station Montparnasse, j’ai tout de suite remarqué les traces d’ongulés et de fauves  en amorçant ma descente dans l’escalator, celui qui débouche sur le tapis-roulant-le-plus-rapide-du-monde-qui-ne-marche-jamais. Forcément, je ne regarde guère au-delà  de mes orteils, dans les couloirs du métro. Et puis je suis passée à autre chose, allez savoir pourquoi ?

    Arrivée dans la meilleure cantine du XVe arrondissement, chez Christelle, dont je tairai le nom et l’adresse, trop précieuse pour être partagée, j’ai dévoré ses travers de porcs succulents et ses délicates pâtisseries. Des trucs de fou, qu’elle a dénichés à La Pâtisserie des rêves, près du Bon Marché : un saint-honoré, un Paris-Brest et un petit gâteau de saison à la rhubarbe. Le tout en miniature, bien sûr, que Monsieur Dukan se rassure.

    Une balade à Rambouillet et une nuit dans une cahutte Huttopia plus tard (je vous épargne les soldes du matin à Saint-Germain…), j’ai assisté à un spectacle étrange dans le couloir interminable de Montparnasse, près du tapis-roulant-le plus-rapide-du monde-qui-ne-marche-jamais, mais de l’autre côté, cette fois. Des gens avec des lunettes en carton sur le nez, immobiles sur le tapis roulant qui, lui, marchait parfaitement. Et là, j’ai compris. Les traces d’ongulés, de félins, par terre, sur les escalators… Une campagne de promo pour l’Afrique du Sud ! Les gens affublés de lunettes, donc, regardaient une énorme frise en relief qui fait la longueur du couloir, soit 185 m à la louche. Tout le long du mur, les Big Five dans une savane sud africaine, ceux que tout touriste se doit d’avoir croisés quand il quitte Joburg, sinon il passe pour un blaireau (l’éléphant, le rhinocéros, le lion, le léopard et le buffle : ça peut  servir pour Le jeu des mille euros). Et les affiches d’annoncer : « Danger, un rhinocéros s’est échappé dans les couloirs de la station » ou autres mises en garde capables de retarder encore plus nos TGV.

    J’ai repensé à Rambouillet : des cerfs, des chevreuils, un pinson des arbres, un carabe doré et une limace rouge. Ouf ! L’honneur est sauf. Mais quand même, je retournerais bien en Afrique du Sud. Il y a de belles bêtes et du bon vin. Dans 48 heures, je serai en vacances dans le Cantal. C’est bien aussi.

    Légende photo : Oryx de vous décevoir…

    20 juin 2011  |  Catherine L.  

    Ma mie m’a offert une machine à pain. Pour un peu, je l’aurais reçue pour la Fête des pères ! Notez que l’an passé, j’ai bien acheté ma cave à vin grâce à une promo « Fête des pères »… L’heure est grave. Je suis fébrile ! Pas à cause de la machine à pain, non. Ça, c’était ce matin, quand j’étais dans le pétrin. Je suis fébrile parce que je rédige pour vous mon premier post après avoir quitté les oripeaux de Margaux, pour ceux qui étaient des fidèles de X Noir… Ça ne sera pas très long ce soir, car je me familiarise avec le tableau de bord de ma navette-blog, par la grâce d’un tutoriel (merci Olivier, ô, dieu du Net et des midinettes). C’est juste pour voir si je suis encore capable. En tout cas, je suis capable de faire du pain. Et je le goûterai grillé demain matin.

    En attendant de vous en dire plus sur la confection maison du pain bio,  je vous offre pour ce premier billet un chien dans le vent. Immortalisé ce week-end sur l’embarcadère de Chausey. Une petite coupe dans le vent, qui rappelle un peu celle de mon neveu, au saut du lit (tu ne m’en voudras pas, Alexis ?).

    Justement, je file au lit. Contente de vous retrouver. Je vais pouvoir m’écrouler sur mon oreiller.

     

    8 juin 2011  |  Catherine L.  


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    Reportage sur le « tourisme zéro carbone » pour Néoplanète (juin 2010, page 76).