• Les vélos : bien plus nombreux que je ne l’imaginais, ils sont omniprésents dans la ville, du moins dans le nord-ouest, et plutôt de style hollandais. Par temps de pluie, les cyclistes tokyoïtes pédalent élégamment un parapluie dans une main, le guidon dans l’autre. A petite vitesse donc.
• Les toilettes : quel que soit le modèle – à la turque (version nipponne), à lunette chauffante (même dans de petits restos) ou sophistiqué (avec jet d’eau tiède à deux directions et intensité modulable + fond sonore de cascade à volume réglable) – leur propreté est toujours irréprochable.
• Les chiens : généralement de petit taille, ils ne dédaignent pas être habillés et circulent parfois en poussette. Plus sobres et plus autonomes, les chats tolèrent des colliers incrustés de (faux ?) diamants et présentent souvent une queue atrophiée.
• Les fils électriques : abondants, ils forment des nœuds qui attirent l’œil vers le ciel. On a envie de les démêler pour rendre service.
• Les cimetières : ils sont hérissés de panneaux verticaux en bois couverts d’idéogrammes envoûtants comme un mikado géant.
• Les statuettes des temples : qu’elles soient Bouddha ou renards, elles sont munies d’un bavoir rouge orangé en plus ou moins bon état qui nous intrigue.
Photos 2, 4, 5 et 6 by Neelhe.