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    Hoazin.fr : le blog de Catherine Levesque

    25 octobre 2011  |  Catherine L.  

    © Marion Poussier

    Je n’ai travaillé que deux fois avec Marion Poussier, dont quelques images défilent sur le carrousel de ce blog. Une fois dans la Sarthe, une fois en Bretagne (son territoire), pour un beau sujet sur le pop art rural de Nizon paru dans TGV mag. Je me souviens avoir regardé avec étonnement et intérêt ses premières photos « perso », dans le book qu’elle avait ouvert silencieusement sur son lit, dans une petite chambre d’hôtel de Quimperlé, si j’ai bonne mémoire. A l’époque, elle travaillait sur de vastes paysages où se perdaient des corps minuscules. Je savais qu’elle creuserait son sillon avec talent, modestie et engagement. Ensuite, il y a eu cette belle expo « J’y suis j’y vote », sur la question du droit de vote des résidents étrangers aux élections locales. Et bien sûr son fameux travail sur les ados (Un été), repéré par Depardon, s’il vous plaît !

    Qu’il s’agisse de commandes ou de séries personnelles, Marion a sa patte. Une belle patte que j’imagine être celle d’un chat, car elle est silencieuse. Une façon de cadrer, de saisir l’instant, assez exceptionnelle. Un grand talent pour les portraits. Des couleurs à elle aussi.

    Demain, je verrai enfin une de ses expos au Palais de l’Institut de France (tant qu’à faire !), où elle a reçu l’an passé le prix de l’Académie des Beaux-Arts. Son travail, édité à nouveau chez Filigrane, concerne cette fois la famille et je vous laisse découvrir ses mots pour le présenter.

    « La photo du mariage des parents est accrochée à un mur. Celles de la naissance des enfants, de leurs anniversaires, des vacances au bord de la mer, sont soigneusement classées dans les albums photo. Les moments ordinaires, eux, ne sont pas figés sur papier. Ils défilent et imprègnent la mémoire d’une manière inconsciente. Ils sont odeurs, sons, gestes ; flous et impalpables. Chaque membre d’une même famille en aura son propre souvenir, qu’il aura soin d’arranger pour recréer sa propre histoire.
    En photographiant les détails infimes de la vie quotidienne, j’ai voulu donner une image à cet ordinaire, symptôme d’un temps, d’une société. J’ai observé avec distance le mouvement des corps dans l’espace cloisonné de la maison : tour à tour enchevêtrés puis à la recherche d’intimité et d’isolement.
    Une question n’a cessé de me poursuivre au cours de ce travail : quelles empreintes ces moments vécus – parfois subis – au sein de la famille laissent-ils sur l’identité de chacun ? »

    21 octobre 2011  |  Catherine L.  

    Après le jour de ceci et l’année de cela, nous plongerons bientôt dans le Mois de l’économie solidaire. Pas sûre que ça change grand chose au sort des Grecs et des Libyens, mais c’est un sujet intéressant, que je vous propose de découvrir dans le dossier que j’ai rédigé pour Mornay magazine (téléchargeable ici en PDF : 03-06_Mornay 67). Vous y lirez notamment une interview de Jean-Louis Cabrespines, président du Conseil national des chambres régionales de l’économie sociale.

    19 octobre 2011  |  Catherine L.  

    Le nouveau numéro de Tour(s)plus Le Mag est sorti. Vous pouvez le télécharger en PDF. Parmi mes productions, vous pourrez y lire le portrait de Carole, une tram’bassadrice très enthousiaste, et de Christophe, chef de chantier sur le tram (page 5). Dans le gros dossier Artisanat-gastronomie, j’ai réalisé la double page sur Euro Gusto (pages 24-25), avec une interview de Mélanie Fauconnier, présidente du Convivium Slow Food Tours Val de Loire, auquel j’adhère depuis peu.

     |  Catherine L.  

    La collection de couverts de mon ami Dominique Mansion.

    Hier, en allant chercher mes cinq réservations à la gare de Tours (ma façon à moi de faire le plein), je tombe sur un bel étal de légumes oubliés. Pas oubliés là, par un voyageur distrait, non. De vrais légumes oubliés. Une jeune femme du stand, pimpante, me tend un bloc de recettes : « Créez votre sandwich SNCF ». Damned ! A partir d’un concours, la Société nationale des cuistots fine-gueules a sélectionné douze créations incluant un ingrédient phare de la région Centre. Pas encore eu le temps de tester (hier, j’avais choisi l’option filet mignon), mais au final ça donne des fouaces au pouligny-saint-pierre, au sainte-maure ou au valençay, un pain garni au crottin de chavignol avec, entre autres, un caramel au vinaigre d’Orléans, un trio d’automne sucré aux poires tapées de Rivarennes et aux reines des reinettes…

    Je donnerais une mention spéciale au Pain « brin de folie », merveille d’inventivité avec des filets de géline déglacés dans du cheverny blanc. Si seulement la SNCF nous servait ce genre d’en-cas en cas de panne prolongée… mais ceci est une autre histoire. La finale a lieu demain, à Tours, entre les douze inventeurs. Pourquoi tant de saveur allez-vous me dire, dans le hall des voyageurs ? Parce que c’est la Semaine du goût pardi !  Ni une ni deux, mon cerveau rembobine : bigre, mais c’est aussi la Semaine de l’énergie ! Déjà que c’est l’Année des Forêts et l’Année des Outre-Mer en même temps.

    Alors je me suis dit que c’était bien la journée de quelque chose, aujourd’hui. Eh bien figurez-vous que non. C’est la journée de rien. Hier, je vous le donne en mille, c’était la Journée mondiale de la ménopause (et les 18 ans de ma nièce). Demain, c’est la Journée internationale des cuisiniers. En attendant la Journée mondiale des cuisinières ménopausées, moi, je vais profiter de cette journée de rien et de ses petits riens. Histoire de récupérer de l’énergie pour vous parler de la Semaine de l’énergie… demain.

    12 octobre 2011  |  Catherine L.  

    © Melissa Alexander - Fotolia.com

    Je vous invite à découvrir mon nouvel article pour connaître la différence entre peintures synthétiques, écologiques et naturelles sur le site de La Maison du cancer.

    7 octobre 2011  |  Catherine L.  

    Il est sorti aujourd’hui. Je suis allée le contempler à la Fnac de Montparnasse (on fait ce qu’on peut, je passais par là). C’est la première fois que je le voyais pour de vrai. J’ai retiré le film plastique sans demander la permission à la vendeuse (pardon, à la libraire, si tant est qu’il en reste, à la Fnac). Après tout, personne ne l’achètera sans le feuilleter, ce pavé qui pèse un âne mort. Et j’y ai reconnu mes textes (une bonne nouvelle en soi !), les photos d’Eric (sans lesquelles le livre n’existerait pas), la préface de l’académicien Frédéric Vitoux… On a beau en avoir écrit quelques-uns, c’est toujours désarmant de voir un livre se matérialiser quand on a travaillé dessus. On a beau dire, les tablettes, les Kindle et compagnie, ça ne fera jamais le même effet. Signe que je suis déjà d’une autre époque, probablement, mais je ne pense pas être passéiste pour autant.

    Maintenant, il est temps de passer à la promo. Non, je n’ai pas édité ce livre à compte d’auteur, mais je peux tout de même tenter le marketing viral. Avec le froid qui s’installe, j’ai une petite chance pour que le virus vous terrasse. Rien que d’y penser, j’éternue sur mon clavier. Steve Jobs va se retourner dans sa tombe (enfin, c’est peut-être un peu tôt – pauvre homme – pomme à son âme). Mon slogan est imparable : vous aimez les chats, vous aimez les livres, achetez Sublimes chats. Ça, c’est de la réclame ou je ne m’y connais pas. Faut bien payer les croquettes du vieux matou qui est à l’origine de tout ça, celui, vaguement rose et un peu gras, qui roupille sur le canapé d’en bas. A bon chat, bon rat.